jeudi 2 avril 2009

Tel que discuté : Avez-vous déjà lue la traduction du livre sur la création du nouvel argent si inclus et cliquer sur le lien pour écouter la vidéo! L

Tel que discuté : Avez-vous déjà lue la traduction du livre sur la création du nouvel argent si inclus et cliquer sur le lien pour écouter la vidéo! Les banques prêtent 70 fois plus d'argent qu'elles n'en ont ! Voilà la cause réelle de la grande misère dans le monde !
Gilles Gagnon à la Mairie de Val Dor
Passons à l’ère informatique, valorisons leur ‘’Napkin Money’’ virtuel
Passons à l’ère des économies collectives Jumelage Marchand Client
Passons à l’ère de l’action économique en supportant nos marchands locaux.
Consommons en économisant avec des incitatifs de la ville centre aux marchands.
Le système monétaire est non fonctionnel et nous endette à tous les jours. Il saute tous les 6-7 ans et nous appauvrit collectivement depuis 150 ans.
Il est plus que temps d’agir afin d’améliorer cette formule économique d’appauvrissement public. Demandez-le, il me fera plaisir de vous envoyez la vidéo de l’arnaque et les écrits.
Unissons-nous collectivement entre marchands et clients, changeons l’argent virtuel créé à partir de dettes, en argent PIB réel au seul endroit ou il se crée : À partir des achats chez les marchands participants, c’est le seul endroit ou il faut commencer nos économies.
Arrêtons de payer des intérêts et des taxes injustifiés continuellement pour nous donner des services publics et personnels.
Supportons Gilles Gagnon à la mairie de Val D’or. JMC sera gérée par un organisme et tournera vos taxes en économies publiques et personnelles. Achetez des certificats remboursables au site www.j-m-c.ca Commencer vos économies maintenant. Offrez des certificats de croissance économique à des organismes à but non lucratif ou aux clients amis(e) de nos marchands locaux. Reconstruisons la classe moyenne. Exigé: Jumelage-marchand-client@tlb.sympatico.ca 819-825-9401, 1-888-414-6093, 764-0265. Visionnez la vidéo de fonctionnement de l’arnaque monétaire que l’on évite d’enseigner: http://changeonslequebec.com/_1THEATRECLQ.php?Vid=

Verso de mes cartes affaires
Les banques prêtent 70 fois plus d'argent qu'elles n'en ont ! Voilà la cause réelle de la grande misère dans le monde !
JMC est le seul programme à être affilié afin de payer les dettes gouvernementales à 100% et régulariser cette arnaque monétaire en économisant collectivement, il est non comparable : Réalisons 50 milles et beaucoup plus par semaine à injecter dans nos économies locaux: Une logique par elle-même… Il faut créer, équilibrer, économiser et répartir équitablement du nouvel argent entre les marchands et leurs clients et ceci, à partir d’économies marchands, versus clients, au lieu de dettes! C’est exactement ce que Jumelage Marchand Client Ltée propose afin de doubler les chiffres d’affaires des marchands qui doubleront leurs emplois. Les économies s’accumulent à partir de la consommation chez les marchands participants d’une cenne à 10$ maximum que les marchands vous offre dépendant du montant de vos achats et ce maximum 10$ devient une nouvelle inscription introduite au programme et devenant en croissance à votre nom jusqu'à 210$. Ce qui permet de vous bâtir un bon portefeuille que vous soyez moins ou plus nantis. Envoyez-nous votre E-mail et nous vous retournerons les vérités cachées sujet à l’argent plus une vidéo étudiante. Traduction du livre; La créature de l’île Jekyll, l’auteur, Edward Griffin.
Visionnez cette vidéo à savoir comment se créé l’argent de dette et vous réaliserez l’importance d’économiser avec JMC pour votre population.
http://changeonslequebec.com/_1THEATRECLQ.php?Vid=>
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Haut du formulaire
Des vérités cachées
L’enjeu : éveiller la population
Tout Canadien soucieux de sa liberté doit certes s’interroger sur la réglementation et le contrôle excessif exercé par le gouvernement à l’égard de ses activités personnelles et financières. Malgré ce qu’en pensent la majorité des gens, il est possible d’acquérir une véritable sécurité financière et de recouvrer son autonomie, en dépit des nombreuses taxes prélevées et de l’ingérence exercée par le gouvernement. Il existe peu de solutions ou de stratégies connues pour surmonter ce problème réel et alarmant. Il y a lieu cependant d’avoir l’esprit ouvert, la volonté d’apprendre et le courage d’agir. Il y va de la liberté personnelle de chacun – un droit inné, propre à tout être humain.
La vérité au sujet de l’argent
Soulignons et comprenons d’abord l’importance de certaines réalités fondamentales de notre système bancaire et monétaire. Tout l’argent que les banques émettent et font circuler est produit sous forme de prêt. Cet argent comporte donc un coût : de l’intérêt. Lorsque les gouvernements permettent aux banques d’émettre la masse monétaire d’un pays, ils doivent percevoir des taxes afin que les banques puissent récolter de l’intérêt sur l’argent qu’elles ont créé. Cela appauvrit automatiquement les citoyens, puisque les banques ne créent jamais d’argent pour payer l’intérêt imposé par l’utilisation de leur argent, mais seulement le principal. En conséquence, pour acquitter l’intérêt, on puise inévitablement dans l’actif du pays et des citoyens, par des mécanismes tels que la création de dettes, les faillites et les forclusions. On prélève, de surcroît, des taxes à la source pour accélérer le processus. Une société qui admet et qui accepte que l’on utilise l’argent des banques plutôt que sa propre devise créée librement par elle expose inéluctablement ses citoyens au cycle économique des dépressions et au désarroi de la population.
Comment nous avons perdu le contrôle de notre avenir en Amérique du Nord
Avant d’aborder la situation canadienne, examinons le cas des États-Unis. Il y a certaines leçons à tirer de l’histoire américaine, qui s’apparente à celle du Canada. En 1776, les 13 colonies qui devaient éventuellement former les États-Unis d’Amérique ont combattu les Britanniques afin de protéger leur autonomie et, notamment, de s’affranchir du contrôle étranger de leur masse monétaire. Jusque-là, les 13 colonies utilisaient librement des billets financiers (leur forme d’argent local) en quantité suffisante pour permettre facilement l’échange de biens et de services.
Or, leur confiscation par le Parlement britannique en quelques années seulement a plongé les colonies – alors prospères et jouissant du plein emploi – dans la pauvreté, le désarroi et le chômage généralisé. Aucun autre motif n’a autant incité les colonies américaines à se rebeller. La livre anglaise a été créée non pas par le Parlement anglais, mais par une société privée à but lucratif : la Banque d’Angleterre. De plus, la livre anglaise n’a pas été émise par les banques sous forme de masse monétaire libre. Elle recelait l’imposition d’intérêts auprès des colonies américaines. Il s’agissait là d’une imposition à laquelle les colonies américaines n’avaient certes pas acquiescée, et donc d’une transgression fondamentale du Common Law.
Devant l’écroulement de leur avenir prometteur suscité par la tyrannie monétaire et sociale du Parlement britannique, les colonisateurs se sont rebellés. Ils ne s’étaient pas installés en Amérique pour se livrer à l’esclavage des mêmes politiques qui avaient longuement opprimé leurs concitoyens britanniques. Ils étaient venus pour y trouver leur liberté.
Victorieux d’une guerre livrée pour l’indépendance, les colonies ont instauré un gouvernement républicain. Habilitée par sa constitution, la nouvelle république américaine a décrété et imprimé sa propre devise, tout en imposant des taxes minimales à ses citoyens. Elle a promulgué des lois fondées sur le Common Law, exprimé dans la Grande Charte (Magna Carta) de 1215, qui enchâsse les droits de la personne.
Toutefois, on a éventuellement assisté à une dissolution du pouvoir monétaire, qui n’était aucunement liée à la défaite des Britanniques. Au cours du 19e siècle, l’Empire britannique a manipulé sans merci les politiques de l’Amérique en prétendant que les banques se souciaient d’abord de l’intérêt du peuple et qu’elles seules pouvaient équilibrer l’économie en émettant et en contrôlant la monnaie nationale. Enfin, en décembre 1913, 137 ans après que l’Amérique eut conquis le contrôle de l’argent, la tyrannie monétaire – cause de la guerre – a resurgi par le truchement de la création secrète et privée de la «Réserve américaine» – la Fed comme on la connaît de nos jours.
En conséquence, l’Amérique a perdu sa souveraineté lorsque le système bancaire étranger (international) a repris le contrôle de l’argent. Le système fiscal actuel, issu d’un régime d’endettement monétaire, démunit incroyablement les citoyens contemporains des États-Unis par rapport à leurs compatriotes de l’avant-révolution américaine.
Il faut maintenant établir une distinction entre le 18e et le 20e siècle : le pouvoir monétaire actuel que les banques internationales exercent directement (ainsi qu’indirectement) contrôle virtuellement toutes les sources d’information et d’enseignement de notre société : universités, collèges, écoles, journaux, églises, cabinets d’avocats et d’experts-comptables, et autres institutions professionnelles. Cela englobe tous les détenteurs de licences, d’accréditations, d’affiliations, de brevets professionnels et autres qui misent sur leurs «titres de compétence» pour gagner leur vie. L’élite secrète qui contrôle notre système monétaire cache cette réalité aux personnes dites «instruites» de notre société et l’a depuis longtemps littéralement soustraite de notre système et du public. Faisant allusion au système bancaire des États-Unis, Henry Ford a lui-même déclaré en 1920 que si les citoyens américains savaient vraiment ce qui se passait, ils se révolteraient sur-le-champ! Or rien n’est d’autant plus vrai aujourd’hui.
La situation canadienne
L’histoire canadienne s’apparente étroitement à celle des États-Unis. Les instigateurs de la déchéance économique américaine ont opéré de la même façon chez nous. Hormis une légère révolte à Toronto en 1837, le Canada n’a cependant jamais livré de guerre politique pour défendre son autonomie comme l’ont fait les États-Unis. Notre pays a toujours cédé à l’influence britannique, dont l’emprise institutionnelle est toujours présente aujourd’hui. Le Canada s’est soumis au joug de l’Angleterre (la livre sterling) et a ensuite promulgué sa propre version d’une masse monétaire endettée : le dollar canadien. La Loi sur les banques du Canada (de 1913), promulguée quelques jours après la création secrète de la Réserve fédérale américaine, concédait aux banques la responsabilité – jusque-là exclusive au gouvernement fédéral – de produire la devise nationale, c’est-à-dire le dollar canadien. Quatre ans plus tard, le gouvernement proclama la Loi sur les mesures de guerre (une loi illégale et inconstitutionnelle), qui l’autorisa à prélever un impôt sur le revenu des Canadiens. Le gouvernement prétendit alors que cet impôt servirait à acquitter la dette engendrée par la Première guerre mondiale; en réalité, la législation introduisait un impôt échelonné sous le couvert des conséquences de la guerre. Cet impôt visait à remplir une condition dictée par les banques : l’établissement d’une taxe directe sur le revenu des Canadiens pour payer de l’intérêt sur l’argent qu’elles avaient elles-mêmes créé. À peine quatre ans plus tard, les paiements d’intérêts sur la masse monétaire créée par les banques étaient déjà trop élevés pour le gouvernement canadien.
Il est à noter que cet impôt direct, tout comme la cession du contrôle de notre devise, contrevenait, et contrevient toujours, à l’article 91 de notre Constitution – l’autorité juridique suprême du gouvernement du Canada. Nos lois statutaires étaient, et sont toujours, fondées sur l’Acte de l’Amérique du Nord britannique. Or, cet état de fait n’a pas changé en 1982, contrairement à certaines prétentions populaires. Par ailleurs, au cours du 20e siècle, le gouvernement a graduellement accru le taux d’imposition fiscale en cherchant à acquitter une dette nationale omni croissante et prévisible – laquelle avoisine aujourd’hui les 600 milliards de dollars! Cette dette ne pourra jamais être remboursée tant que les banques contrôleront notre masse monétaire. On nous impose plus de 165 taxes sous forme de prélèvements divers – taxes sur les ventes, taxes sur les produits et services, douanes, permis, tarifs, droits, impôts, retenues à la source (même avec les loteries et les gains de casinos) – à tel point que cela ronge plus de 72 % de nos revenus. Rappelons-nous ceci : tant que l’approvisionnement monétaire d’un pays proviendra des banques, il y aura toujours pénurie d’argent, car les banques ne créent pas d’argent pour payer l’intérêt sur la dette. Elles ne créent l’argent que sous forme de principal. En fait, seule une infime partie de la population ne pourra jamais surmonter le problème des taxes et des prélèvements fiscaux inhérents à notre système et atteindre l’autonomie financière. En conséquence, plus le système enlise notre société, plus les contribuables canadiens souffriront, et plus il faudra sensibiliser les citoyens à une planification financière qui ne repose pas sur une politique monétaire immorale et mondialement contrôlée.
Le système d’éducation canadien masque la vérité au sujet du fonctionnement des banques, du contrôle de notre masse monétaire, des pouvoirs du gouvernement, du Common Law patrimonial et de nos droits constitutionnels. Il nous appartient, à nous seuls, de découvrir la vérité et de l’appliquer à bon escient.
Bas du formulaire
Tous devraient maintenant savoir que lorsque les banques prêtent de l'argent, elles ne se départissent de rien, elles créent tout simplement l'argent qu'elles prêtent, sans que cela ne leur en coûte un seul sou. Elles n'ont pas besoin d'imprimer de papier-monnaie, elles ne font qu'inscrire des chiffres dans des comptes de banque, qui circulent sous forme de chèque, et ces chiffres sont tout aussi bons que le papier-monnaie. Car il existe deux sortes d'argent: le numéraire (billets de banque et pièces de monnaie), et l'argent scriptural (les chiffres inscrits dans les comptes de banque). Cet argent "scriptural", créé par les banques, forme plus de 95% de tout l'argent du pays; l'autre sorte, le papier-monnaie et les sous, constitue moins de 5%.
L'orfèvre devenu banquier
Cette façon de faire des banques remonte au Moyen-âge, alors que l'or était la seule forme de monnaie existante. Ceux qui possédaient de l'or, de peur de se le faire voler, déposaient cet or dans les coffres-forts des orfèvres. Ces derniers leur remettaient un reçu certifiant que les individus en question possédaient bel et bien tel montant d'or dans le coffre-fort de l'orfèvre. Au lieu de payer en or pour obtenir des produits, ces individus payaient avec ces reçus émis par l'orfèvre, et celui qui devenait le nouveau propriétaire de ces reçus, devenait ainsi le propriétaire du montant d'or inscrit sur le reçu, et était libre de se présenter en tout temps chez l'orfèvre pour retirer cet or.
L'orfèvre remarqua que la plupart des gens préféraient s'échanger ces reçus, au lieu de se présenter chez lui et réclamer leur or. Par exemple, pour une personne qui venait réclamer son or, dix personnes ne venaient pas, et préféraient s'échanger les reçus émis par l'orfèvre. L'orfèvre réalisa qu'il pouvait émettre ainsi sans risque dix fois plus de reçus qu'il avait d'or en réalité dans son coffre-fort. Tant qu'une proportion de dix personnes sur onze ne se présentent pas chez l'orfèvre pour réclamer leur or, alors là tout son système s'écroule et sa fraude est dévoilée, car il ne peut rembourser tout le monde, puisqu'il a dix fois moins d'or qu'il prétendait en avoir.
Les banques font exactement la même chose aujourd'hui. Elles ont remarqué que pour une personne qui venait à la banque et désirait être payée en argent liquide (papier-monnaie), environ dix personnes ne font que transférer des chiffres d'un compte à un autre, sans qu'il n'y ait aucun usage de papier-monnaie. C'est ce qui permet aux banques de "prêter" plus d'argent qu'elles en ont en réalité. Par exemple, une banque qui a $1 million en dépôt en argent liquide, peut ainsi prêter dix fois plus d'argent de comptabilité. La seule crainte du banquier, c'est qu'un nombre trop élevé de déposants viennent en même temps retirer leur argent de la banque, car il ne peut fournir qu'un déposant sur dix. Une des manières pour le banquier de se protéger contre un tel risque, c'est d'encourager les épargnants à laisser leur argent à la banque le plus longtemps possible (placements ou obligations), en leur accordant un taux d'intérêt plus élevé.
Depuis des années, l'usage d'argent de comptabilité a augmenté, et le banquier a pu ainsi créer un plus grand pourcentage d'argent de chiffres. ANSI, pour le troisième trimestre de 1995, il existait 3,1 milliards de dollars en billets de banque et pièces de monnaie, et le total des prêts non-hypothécaires, pour période, était de 216 milliards $, soit 70 fois le montant d'argent liquide existant dans le pays! Jusqu'à tout récemment, les banquiers devaient, selon la loi des banques, détenir une réserve de 4% en argent liquide. Mais en décembre 1991, le Parlement canadien a voté qu'à partir du 1er janvier 1994, cette réserve serait de zéro pour cent!
En d'autres mots, il n'y a plus aucune limite prescrite par la loi. La seule limite à la création d'argent par les banques, c'est le fait que des individus désirent encore être payés avec du papier-monnaie. Alors, on comprend que les banques vont faire tout leur possible pour éliminer tout simplement l'usage de papier-monnaie, en encourageant l'utilisation des cartes de débit, paiement direct, etc., pour en venir éventuellement à l'élimination de l'argent liquide. Elles prêcheront l'existence d'une seule forme d'argent, l'argent électronique. Les citoyens doivent tout faire pour empêcher que cela arrive, car l'élimination du papier -monnaie serait la plus grande fraude qui pourrait arriver dans le pays - elle donnerait aux banques le contrôle absolu de l'économie et de tous les individus.
Tout sur l’histoire des banques
Edward Griffin
Dans le livre La créature de l’île Jekyll, l’auteur, Edward Griffin, explique comment se servir du pouvoir et de l’argent pour contrôler les groupes et les institutions, en achetant l’autorité et l’emprise des gens qui les dominent. Ce procédé consiste à corrompre des politiciens, des partis politiques, des réseaux de télévision, des réseaux câblés, des journaux, des magazines, des agences de publicité, des agences de presse, des studios cinématographiques, des universités, des syndicats de travailleurs, des organismes religieux, des associations commerciales, des institutions à but non lucratif, des sociétés multinationales, des mouvements de scoutisme pour garçons et filles et ainsi de suite. En fait, n’importe quel groupe qui exerce une influence constitue une cible parfaite pour accroître ce contrôle. Les acquéreurs dont il est question dans cette leçon, ont beaucoup d’argent pour se procurer ce contrôle.
AVERTISSEMENT !
Vous êtes sur le point d’entrer dans une zone de réalité… Un endroit où la vérité est plus étrange que la fiction, où la connaissance est profonde, où les mythes sont détruits et les déceptions étalées au grand jour. En ces lieux, vous découvrirez les vraies leçons d’histoire. En ces lieux, de vraies aventures de la vie vous dévoileront la nature cachée de l’homme. Si vous poursuivez votre écoute, vous ne pourrez plus jamais retourner dans la zone floue d’où vous venez.
Bienvenue dans la zone de réalité. Je m’appelle Ed Griffin et j’ai écrit un livre intitulé La créature de l’île Jekyll, un second regard sur la Réserve fédérale. À la fin du manuel, j’encourage mes lecteurs à se joindre à moi pour détruire la Réserve fédérale, ce « monstre » du gouvernement américain. Je leur donne également les outils dont ils peuvent se servir pour y parvenir. À mon plus grand étonnement et plaisir, des milliers de lecteurs m’ont écrit pour joindre les rangs de ma croisade. Très embarrassé de ne pas posséder du matériel imprimé en quantité suffisante pour le leur expédier, le 18 novembre 1994, j’ai décidé d’enregistrer ce message.
Transportons-nous au premier siècle, dans un minuscule royaume appelé Fryggia, où un philosophe du nom d’Ethectate a déclaré qu’il existait quatre types d’apparences : les choses paraissent telles qu’elles sont ; elles ne paraissent pas telles qu’elles sont ; les choses sont ce qu’elles sont sans le paraître ; elles ne sont pas ce qu’elles sont et paraissent l’être. Cet homme aurait pu donner des cours bancaires et d’économie dans l’une de nos universités. Cela ne ressemble-t-il pas aux explications que l’on obtient en lisant les relevés de la Réserve fédérale ? Ethectate s’est servi d’un concept relativement simple et pourtant, lorsqu’il eut terminé son explication, personne ne comprenait toujours pas de quoi il parlait. Voilà ce à quoi nous devons faire face avec les experts de nos jours. Il cherchait seulement à dire que les apparences peuvent parfois être décevantes. Il nous a tout de même donné un chemin à suivre, un thème.
S’il existe quelque chose de décevant dans le monde, c’est bien le système de la Réserve fédérale. On peut le considérer comme le 4e type d’apparence qu’Ethectate décrivait comme suit : il n’est pas ce qu’il est et paraît l’être. Ma présentation portera sur ce thème.
La création du système de la Réserve fédérale (la Fed)…
Le titre du livre, La créature de l’île Jekyll, un second regard sur la Réserve fédérale, en dit très long sur le contenu ma présentation. L’île Jekyll existe vraiment. Elle se situe au large de la côte de Géorgie. Le système de la Réserve fédérale fut conçu sur cette île, en 1910, lors d’une réunion ultra secrète. Lorsque l’on opère en secret, cela signifie habituellement que l’on cache quelque chose. Tout ce dont je vous entretiendrai fut mis par écrit. En 1910, un petit groupe de millionnaires de New York, dont J. P. Morgan, William Rockefeller et leurs associés, possédait l’île Jekyll en totalité. Leurs familles venaient y passer les mois d’hiver. L’île servait de lieu de vacances et on l’appelait le Club de l’île Jekyll. Depuis, l’état de la Géorgie a acheté l’île. On y retrouve un pavillon où se trouve une pièce spéciale. Sur la plaque de laiton fixée à la porte de cette salle, on peut lire : le système de la Réserve fédérale fut créé dans cette pièce. On peut accéder à ces informations dans les bibliothèques.
En novembre 1910, le sénateur Nelson Aldrich envoya son train privé à une station de chemin de fer du New Jersey, tard le soir. Le train était prêt à le recevoir ainsi que six autres hommes qui venaient à la condition ultime de n’en souffler mot à personne. On leur avait demandé, par exemple, de se présenter à un moment précis et de ne pas souper ensemble le soir de leur départ. S’il advenait qu’ils arrivent au même moment, ils devaient prétendre qu’ils ne se connaissaient pas. Étant donné qu’ils étaient des hommes bien connus, on leur avait dit d’éviter les journalistes. L’un d’entre eux a même traîné un fusil de chasse pour prétendre qu’il allait en voyage de chasse aux canards si on lui demandait. Nous apprîmes plus tard à travers sa biographie qu’il n’avait jamais possédée d’armes à feu de sa vie. Il l’avait emprunté pour l’occasion. À bord du wagon, ils avaient reçu l'ordre de ne s’adresser l’un à l’autre que par leur prénom. Deux d’entre eux ont même utilisé des noms de code. La raison en était fort simple : le personnel de service à bord du train ne devait pas savoir qui ils étaient.
Le train privé voyagea pendant deux nuits et une journée, c’est-à-dire un voyage de mille milles, jusqu’à ce qu’il arrive à une voie d’évitement située à Brunswick, Géorgie. À partir de là, ils prirent un traversier jusqu’à l’île Jekyll. Pendant neuf jours, ils sont restés assis autour de la table du pavillon et ont éclairci tous les détails importants de ce qui allait devenir le système de la Réserve fédérale. Lorsqu’ils eurent terminé, ils retournèrent à New York et nièrent la tenue d’une telle réunion pendant un certain nombre d’années. Ce n’est que lorsque le système de la Réserve fédérale fut fermement établi qu’ils commencèrent à parler ouvertement de ce qu’ils avaient fait. Plusieurs d’entre eux rédigèrent des livres et des articles de revues sur le sujet. Il nous est maintenant possible d’en apprendre davantage sur ce qui s’est passé.
Qui étaient ces hommes ? Le sénateur Nelson Aldrich, chef de file républicain du Sénat (membre de la Commission monétaire nationale – ce comité spécial du Congrès, créé dans le but d’émettre des recommandations relatives à la réforme législative des opérations bancaires d’Amérique). Même à cette époque, les Américains s’inquiétaient de laisser tout le pouvoir financier entre les mains d’un petit groupe de banques et de sociétés de placement new-yorkaises. Ils l’appelaient la Fiducie monétaire (le Money Trust). Les citoyens voulaient mettre un terme à l’empire de cette dernière. Plusieurs politiciens ont été élus grâce à leur promesse d’aider à réaliser ce projet. D’ailleurs, l’un des objectifs de la Commission monétaire du sénateur Aldrich visait exactement à accomplir cela. Toutefois, le sénateur entretenait une relation commerciale avec l’homme d’affaires J. P. Morgan. Ce dernier était le beau-père de John D. Rockefeller fils et devint par conséquent, le grand-père de Nelson Rockefeller, un ancien vice-président des États-Unis.
Le deuxième homme présent à la réunion se nommait Abraham Piat Andrews, le secrétaire-assistant du Trésor américain. Plus tard, il devint un membre du Congrès et fut, tout au long de sa carrière, un homme très influent au niveau des milieux bancaires. Le troisième homme s’appelait Frank Vanderlip, le président de la National Bank de New York, la plus grande et la plus puissante banque d’Amérique. Il représentait les intérêts financiers de William Rockefeller et de la société d’investissement internationale Kuhn, Loeb and Company. Henry Davison, l’associé principal de la J. P. Morgan Company, était présent. Charles Norton, le président de la First National Bank de New York, participait à cette réunion. Benjamin Strong, le directeur général de la J. P. Morgan’s Bankers Trust Company, y assistait également. Il en devint d’ailleurs le P.D.G., trois ans plus tard, suite à l’adoption de la Loi sur la Réserve fédérale. Enfin, Paul Warburg prenait lui aussi part à la réunion. Il était probablement l’homme le plus important en ces lieux grâce à ses connaissances bancaires européennes. Allemand de souche, il se fit éventuellement naturaliser citoyen américain. En plus d’être un partenaire de la Coon, Loeb and Company, il représentait également la dynastie bancaire Rothschild en Angleterre et en France. De plus, il entretenait des liens étroits avec son frère Max, le directeur en chef du consortium bancaire Warburg en Allemagne et aux Pays-Bas. Paul Warburg était l’un des hommes les plus riches du monde. Ces sept hommes qui se trouvaient sur l’île Jekyll, représentaient à eux seuls en ce temps, directement et indirectement, approximativement un quart de la richesse planétaire globale.
Voici comment tout cela s’est vraiment déroulé. Frank Vanderlip affirma dans un article du Saturday Evening Post du 9 février 1935 : « Je ne crois pas exagérer en considérant notre expédition secrète sur l’île Jekyll comme une occasion en or de créer ce qui devint éventuellement le système de la Réserve fédérale, et ce, même si le mot d’ordre voulait que l’on garde ce fait le plus secret possible. Une fois installés à l’intérieur du train, nous avons commencé à respecter l’interdiction d’utiliser nos noms de famille respectifs. Nous nous adressions l’un envers l’autre en tant que Ben, Paul, Nelson et Abe. Davison et moi avions même poussé la mascarade jusqu’à abandonner nos prénoms. Davison prit le nom de Wilbur et j’empruntai le nom d’Orville, en l’honneur des deux frères Wright, les pionniers de l’aviation. Il se peut que les serviteurs et les employés du train aient reconnu un ou deux d’entre nous, mais ils ne nous connaissaient pas tous. Nos noms réunis auraient pu à eux seuls donner une toute autre portée à notre expédition, tant à Washington, qu’à la Bourse de New York ou même à Londres. Il ne fallait tout simplement pas que l’on nous découvre. » Pourquoi, demande Ed Griffin ?
Vanderlip donne une réponse à cette question dans le même article : « Éventer le secret du rassemblement de notre groupe en particulier et de nos travaux équivalaient à anéantir toutes chances que le Congrès vote la Loi sur le comportement des banques. » Pourquoi ? Parce que le but de cette loi consistait à mettre un terme à l’empire de la Fiducie monétaire et croyez-le ou non, cette loi avait été écrite par les membres mêmes de la Fiducie monétaire. C’est aussi simple que cela. Si le public avait eu connaissance de cette réunion, le système de la Réserve fédérale n’aurait jamais vu le jour. Comme si l’on demandait à un renard de construire un poulailler et d’y installer un système d’alarme ! Cette réunion devait avoir lieu dans le plus grand secret. Ni le grand public, ni le Congrès ne l’aurait acceptée. En d’autres termes, on créa la Réserve fédérale secrètement parce qu’elle aurait suscité trop de déception. De plus, d’autres raisons s’ajoutent à cela. Analysons la composition du groupe.
Ici, nous avons les Morgan, les Rockefeller, les Warburg et ainsi de suite, tous assis à discuter autour d’une table. Il se peut que vous vous demandiez ce qu’il y a de mal à cela. Eh bien ! Ce qui ne va pas, c’est que tous ces gens étaient des compétiteurs, des géants de la finance mondiale qui se battaient non seulement à New York, mais également à Londres ou à Paris, entre autre. Les livres d’histoire décrivent cette époque américaine comme l’aube de la période du cartel. Une transition idéologique majeure s'opérait en affaires. Les grandes entreprises avaient pris de l’extension au niveau de leur pouvoir d’action et de leur prospérité grâce à la concurrence permise par la libre entreprise. Cet état de fait conféra une supériorité aux États-Unis et lui permit de surpasser l’ordre mondial suranné. À partir de cet instant, les grandes entreprises transformèrent leur idéologie en monopole et évitèrent ainsi la concurrence. Pour reprendre les paroles de John D. Rockefeller père : « La concurrence est un péché. » Les dirigeants de ces entreprises consacrèrent leur vie à l’élimination de la concurrence, quel qu’en soit le prix. S’ils n’y parvenaient pas, ils l’achetaient ou, dans la mesure du possible, s’y associaient en un monopole partagé. C’est ce qu’on appelle un cartel.
Cette transition se produisit à cette période de l’histoire. Pendant les quinze années qui ont précédé le rassemblement sur l’île Jekyll, les groupes financiers de toutes les industries s’étaient progressivement associés en joint-ventures au lieu de concurrencer l’un contre l’autre. Ils s’étaient rendu comptent que cela fonctionnait et l’ont apprécié.
Nous étudierons maintenant la deuxième ahurissante réalisation au sujet de la Réserve fédérale. Nous verrons d’ailleurs qu’il ne s’agit aucunement d’une organisation gouvernementale. Il s’agit d’un cartel ! Ils ont créé un cartel bancaire et l’ont rendu légal, conformément à la loi. Personne n’apprendra cela à l’école. Un troisième élément s’ajoute à cette histoire : ce cartel s’est associé au gouvernement.
Lorsque l’on forme un partenariat, toutes les parties doivent profiter de certains avantages. Qu’est-ce que le gouvernement gagne avec tout cela ? Examinons ensemble par quel mécanisme le gouvernement fédéral crée l’argent. Comment est-ce que l’argent voit le jour ? Nous devrions le demander au magicien Mandragore. Il pourrait créer quelque chose à partir de rien, puis le faire disparaître par la suite. N’essayez pas de comprendre. Voici comment cela se passe et je vous le présenterai le plus simplement possible.
De l’argent créé comme par magie…
Le Congrès à besoin d’argent et en quantité beaucoup plus importante que ce qu’il perçoit en impôts. Les impôts représentent une fraction de ce que le Congrès requiert pour fonctionner. Comment peut-il dépenser plus que ce qu’il touche en impôt ? Étudions son mode de fonctionnement… Supposons que le Congrès a besoin d’un milliard de dollars pour payer les dépenses du jour. Il s’adresse alors au Trésor et le trésorier-payeur général lui répond : « Vous devez blaguer ! Nous n’avons aucun argent disponible. Vous l’avez dépensé en entier durant les mois de février et mars. Tout ce que nous avons perçu en impôt est parti en fumée. » Le Congrès affirme qu’il le sait. Ils en arrivent à la conclusion qu’ils auraient dû puiser l’argent dans les fonds publics. Puis, le Congrès passe par l’imprimerie non pas pour faire imprimer de l’argent, mais plutôt des certificats. De beaux billets où apparaissent, dans la partie supérieure, un aigle et la mention : Bon du Trésor des États-Unis (billet ou promesse, suivant la date d’échéance). En fait, ce sont des reconnaissances de dettes et le Congrès espère qu’elles inciteront les gens à emprunter au gouvernement en retour. Plusieurs personnes le font parce qu’elles ont entendu dire qu’il s’agit de l’un des meilleurs investissements à faire. Gardez toujours ceci à l’esprit : le gouvernement vous fait croire que vous investissez, mais en réalité, vous lui prêtez de l’argent lorsque vous achetez ses valeurs. Il affirme qu’il s’agit du meilleur investissement possible parce qu’il est avalisé par la confiance et le crédit du gouvernement des États-Unis. Cela signifie que le gouvernement s’engage solennellement à vous rendre votre argent avec des intérêts, même s’il doit vous prendre tout ce que vous possédez en impôt pour y arriver.
Puis, les représentants du Congrès et du Trésor se rendent ensemble jusqu’à l’immeuble de la Réserve fédérale. La Fed les attendait. Elle rédige immédiatement un chèque d’un milliard de dollars au Trésor des États-Unis. Qui a payé ce milliard de dollars ? La réponse : il n’existe pas. Il n’y a même pas de compte de chèques, seulement un livret. De l’argent instantané. Vous et moi irions en prison en agissant ainsi. Cependant, ils peuvent le faire parce que le Congrès le leur demande. Le gouvernement est impliqué dans ce partenariat pour cette même raison. Le gouvernement peut ainsi accéder instantanément au montant d’argent qu’il désire et au moment qu’il le souhaite, sans avoir besoin de demander l’approbation des contribuables sous forme d’impôt direct. Si le gouvernement s’adressait aux contribuables en disant qu’il avait besoin de l’argent et que pour se faire, il devait augmenter leurs impôts de 3 000 $, ces derniers ne voteraient plus pour lui aux prochaines élections. Le gouvernement aime se servir du mécanisme de Mandragore parce qu’il peut ainsi obtenir de l’argent immédiatement sans que personne ne le sache. Le gouvernement fait partie de ce partenariat pour cette raison. Toutefois, on peut se demander pourquoi le cartel bancaire y participe également.
Le cartel bancaire est impliqué dans ce partenariat parce que le trésorier-payeur général prendra le chèque d’un milliard de dollars et le déposera dans le compte de chèques du gouvernement qui se trouve à la Réserve fédérale. À ce moment, l’ordinateur indiquera que le compte du gouvernement contient un milliard de dollars instantané. Cela signifie qu’à partir de cet instant, le gouvernement peut émettre des chèques gouvernementaux d’un montant égal. Prenez l’exemple d’un chèque de 100 $ libellé au nom d’un employé des postes. Cette personne ne croirait pas que cet argent n’existait pas deux jours plus tôt. D’ailleurs, elle ne s’en soucierait pas puisqu’elle peut le dépenser. L’argent se trouve maintenant ailleurs qu’à la Fed ou qu’entre les mains des partenaires du gouvernement, c’est-à-dire du côté bancaire commercial. Le banquier se dirige alors vers la fenêtre des prêts et annonce : « Puis-je avoir votre attention s.v.p. ? Nous avons de l’argent à prêter. » Maintenant, tout le monde est heureux et pourtant, chacun d’entre eux ressent de l’inquiétude face au maigre montant de 100 $. Alors, le banquier les rassure en disant de ne pas s’inquiéter parce qu’il peut leur prêter 900 $. Comment est-ce possible ? Comment est-ce que les banques peuvent prêter un montant de 900 $ alors que la somme déposée n’était que de 100 $ ? Voici la réponse :
Le système de la Réserve fédérale exige aux banques de garder en réserve au moins 10 % des dépôts effectués. Elles doivent conserver 10 $ par tranche de 100 $ et prêter la différence, soit 90 $. Puis, dès qu’un citoyen emprunte ce 90 $ et le dépose dans son compte de chèques, le même cercle vicieux recommence et ainsi de suite. D’où venait tout cet argent ?
La réponse est la même : l’argent n’existait pas. Il est apparu au moment précis où quelqu’un fit l’emprunt. Rappelez-vous. L’argent créé à partir de rien et remis au gouvernement, a été dépensé par ce dernier pour réaliser ses projets. D’autre part, les banques n’ont pas dépensé l’argent créé à partir de rien pour elles, elles nous l’ont plutôt prêté afin que nous réalisions nos projets. Toutefois, elles perçoivent de l’intérêt sur ces prêts qui, en fin de compte, n’existe pas. Tous les citoyens aimeraient posséder un livret de chèques magiques comme celui là et percevoir de l’intérêt sur les prêts ! C’est la raison pour laquelle le cartel bancaire est partenaire dans cette affaire. Tout cela est légal. On charge de l’intérêt sur rien. Cependant, le processus ne s’arrête pas là.
Quelles en sont les conséquences ? Cet argent créé à partir de rien se retrouve dans le système économique et ces nouveaux dollars diminuent la valeur de ceux qui y circulent déjà. On peut comparer ce phénomène au principe de délaiement de la soupe. Lorsqu’une soupe est trop épaisse, on y ajoute de l’eau pour la diluer. Les prix commencent alors à augmenter et l’inflation s’abat sur l’économie. En fait, contre toute apparence, on a l’impression que les prix augmentent. Et le mot apparence est juste. En théorie, les prix n’augmentent pas. En réalité, la valeur des dollars diminue. Si l’argent des Américains valait le prix de l’or, de l’argent ou d’un tout autre effet de commerce tangible et qu’il n’était pas créé à partir de rien, les prix resteraient fixes. Si nous avions vécu dans la Rome antique, nous aurions pu acheter, avec une pièce d’or d’une once, les vêtements de base (toge, sandales, et ainsi de suite). Que pouvons-nous acheter aujourd’hui avec cette même pièce d’or ? Il nous est possible d’entrer dans n’importe quelle mercerie pour homme et d’acheter un complet de bonne qualité, des souliers, une ceinture faite à la main et ainsi de suite. Le prix réel de ces articles s’est maintenu depuis des milliers d’années, lorsque l’on en parle en termes d’argent réel. Les billets de la Réserve fédérale nous permettent d’acheter de moins en moins d’articles parce qu’il y en a de plus en plus en circulation.
Nous avons perdu notre pouvoir d’achat. Qui est-ce qui le détient maintenant ? Ceux-là même qui se trouvaient à l’autre extrémité du tuyau, c’est-à-dire le gouvernement (un milliard de dollars), puis ceux qui travaillent pour lui comme les entrepreneurs et les autres. Et qui dispose de l’argent qui provient des banques ? D’abord, les banques puis les emprunteurs ? Non ! Parce que l’argent que vous avez emprunté aux banques, vous devez le leur rembourser en plus des intérêts. La banque s’empare de vos gains. Depuis la création de la Réserve fédérale, nous vivons dans un cycle économique en dents de scie. Si vous ne pouvez effectuer vos paiements, les banques vous prennent tout. C’est ce qui avait été prévu. Ceux qui profitent de votre perte et qui achètent le pouvoir sont le gouvernement et les cartels bancaires.
Pour résumer la situation, voici la vérité au sujet de l’argent : soulignons et comprenons d’abord l’importance de certaines réalités fondamentales de notre système bancaire et monétaire. Tout l’argent que les banques émettent et font circuler est produit sous forme de prêt. Cet argent comporte donc un coût, c’est-à-dire de l’intérêt. Lorsque les gouvernements permettent aux banques d’émettre la masse monétaire d’un pays, ils doivent percevoir des taxes afin que les banques puissent récolter de l’intérêt sur l’argent qu’elles ont créé. Cela dévalorise automatiquement les citoyens puisque les banques ne créent jamais d’argent pour payer l’intérêt imposé par l’utilisation de leur argent, mais seulement le principal. En conséquence, pour acquitter l’intérêt, on puise inévitablement dans l’actif du pays et des citoyens par des mécanismes tels que la création de dettes, les faillites et les forclusions. On prélève, de surcroît, des taxes à la source pour accélérer le processus. Une société qui admet et qui accepte que l’on utilise l’argent des banques plutôt que sa propre devise créée librement par elle expose inéluctablement ses citoyens au cycle économique des dépressions et au désarroi de la population.
Le processus dont il est question est en fait une taxe. Qu’on l’appelle inflation ou autre, cela reste une taxe. Vous ne pouvez aucunement la contrôler, on vous l'arrache sans exonération, sans déduction. C’est la taxe la plus directe qui existe, bien plus que les impôts ou les taxes indirectes. D’ailleurs, elle touche encore plus fortement ceux qui peuvent le moins se permettre de la payer. Par conséquent, le système de la Réserve fédérale est l’auteur de la taxe la plus injuste qui soit. Cette taxe s’abat sur les gens qui gagnent un salaire fixe, les gens à la retraite ou quiconque a réussi à épargner de l’argent. Elle les assaille encore plus durement que ceux qui empruntent. Si vous ne deviez vous souvenir que d’un seul détail de ce cours, veuillez s’il vous plaît vous rappeler de celui-ci : l’inflation et la taxe ne font qu’un ! Voilà pourquoi ces deux groupes font partie du partenariat. Du côté gouvernemental, ils peuvent taxer les citoyens de n’importe quelle façon et à n’importe quel coût, sans que ceux-ci en aient la moindre idée. Du côté bancaire, ils peuvent percevoir des intérêts sur rien en perpétuité. Retournons à l’île Jekyll. L’idée a germé en ces lieux.
Un jeu de mot trompeur…
Ce modèle de partenariat fut conçu en Europe, au 16e siècle. On l’expérimenta et le perfectionna éventuellement avec la formation de la Banque d’Angleterre en 1694. À partir de cette date, tous les gouvernements européens ont utilisé ce mode de fonctionnement. Bien entendu, ils ne l’ont pas appelé le mécanisme de Mandragore, mais plutôt la Banque centrale. Amener ce mode procédé en Amérique exigeait qu’on le nomme différemment. Alors, après un long débat, ses créateurs, qui commencèrent par lui trouver le nom « Fédérale », parce que cela évoquait une opération gouvernementale, optèrent ensuite pour le mot « Réserve » afin que l’on croie à l’existence de réserves en un certain endroit. Enfin, ils ajoutèrent le mot « Système » parce qu’il semblait beaucoup plus important qu’il n’en ait l’air aujourd’hui. Souvenez-vous de la première concentration new-yorkaise du pouvoir – ils devaient convaincre les Américains qu’ils créaient un système réunissant plusieurs banques et non une seule. Construire d’énormes édifices bancaires à travers le pays. Nous savons maintenant que ce que nous avons obtenu n’a rien de fédéral, que les réserves n’existent pas, qu’en réalité, le système ne répartit pas ses pouvoirs et que les Réserves fédérales ne sont pas des banques.
Ils ont monté cette brillante déception de toute pièce puis l’ont vendue aux Américains. La première ébauche du projet de loi sur la Réserve fédérale s’appelait la Loi Aldrich (the Aldridge Bill) parce que le sénateur Aldrich lui accordait son appui. Paul Warburg lui déconseilla toutefois d’agir ainsi parce qu’à son avis, le Congrès voterait contre ce projet de loi étant donné qu’on identifiait trop souvent Aldrich à des grandes entreprises. Toutefois, l’ego du sénateur Aldrich était tellement gonflé qu’il présenta tout de même le projet de loi Aldrich au Congrès. Warburg avait raison. Le Congrès refusa de l’accepter. Ce fut un contretemps mineur. Ils retirèrent alors le nom d’Aldrich du projet de loi et trouvèrent quelques démocrates millionnaires (le parti ami des petits contribuables) afin que ceux-ci y apportent leur appui. Ces hommes s’appelaient Carter Glass, de la Chambre des représentants, et le sénateur Owen, un banquier lui-même très respecté au sein du Sénat. Puis, on changea le nom du projet de loi pour le Glass-Owen (the Glass-Owen Bill). Aldrich et Vanderlip commencèrent alors à répondre à des entrevues pour condamner le projet de loi… qu’ils avaient eux-mêmes écrit. Ils affirmaient que ce système ruinerait les banques et la nation. Le grand public se dit alors : « si les grands banquiers ne sont pas en faveur de ce projet de loi, il doit alors s’agir d’un très bon système. » Une grande déception planifiée ! Il va sans dire que l’on comprenait parfaitement le fonctionnement de la psychologie de masse. Pendant ce temps, les mêmes individus finançaient secrètement des messages pour louanger le nouveau projet de loi sur la Réserve fédérale. Ils donnèrent de l’argent aux universités. Ils établirent de nouveaux départements d’économie. Ils sélectionnèrent les professeurs et les directeurs des ces départements parmi leurs gens. Ces professeurs commencèrent à vanter les mérites de ce nouveau et merveilleux système. Puis, à la demande de Paul Warburg, ils ajoutèrent quelques excellentes clauses au projet de loi. Cela contraria ses associés. Warburg leur rappela néanmoins que leur seul objectif visait à l’acceptation de ce projet de loi. Ils pourraient ensuite rectifier la situation.
Ces nouvelles clauses ajoutées au projet de loi attirèrent l’appui de William Jennings Bryan, l’homme à la tête du mouvement populiste. Il s’était opposé au projet de loi depuis le début, mais en voyant les nouvelles clauses, il lui accorda sa faveur. Cet appui ouvra la voie au projet de loi. On a amandé la Loi sur la Réserve fédérale plus de cent fois depuis son adoption. Chacune des excellentes clauses a depuis longtemps été éliminée. Par contre, plusieurs autres ont été rajoutées, ce qui a permis d’augmenter encore davantage les pouvoirs et la portée du système de la Réserve fédérale. La Loi fut adoptée majoritairement le 22 décembre 1913, avec l’appui du Congrès et du public. La créature quitta finalement l’île Jekyll pour s’installer dans le district fédéral de Washington.
Les soi-disant objectifs de la Fed…
Reportons maintenant notre attention sur les objectifs du système de la Réserve fédérale. Selon ce que l’on nous a dit, l’objectif de la Fed consiste à stabiliser l’économie et à arrêter les opérations bancaires chaotiques. Paul Samuelson rédigea un manuel scolaire sur l’économie très populaire dans les collèges et universités américaines. Cet ouvrage soutient que la Fed découle de la panique de 1907 avec ses épidémies de faillites bancaires alarmantes. Les États-Unis en avaient assez. Voici ce qu’apprennent les étudiants et voilà pourquoi ils piquent actuellement notre curiosité. Alan Greenspan, président de la Réserve fédérale affirme qu’ils font cela pour aider les gens, pour stabiliser l’économie, afin que le peuple américain n’ait pas à subir une inflation démesurée ! Depuis sa création, la Réserve fédérale a présidé les Krachs de 1921 et 1929, la Grande dépression de 1929-1939, les récessions des années 53, 57, 69, 75 et 81 et le lundi noir de 1987, où 22 % des valeurs totales de la Bourse chutèrent en une journée. Nous savons tous que la dette des entreprises monte en flèche, que les dettes personnelles s’accroissent démesurément. Les faillites d’entreprises et personnelles n’ont jamais été si nombreuses. Les banques et les sociétés de crédit immobilier n’ont jamais essuyé un si grand nombre d’échecs. L’intérêt sur la dette nationale ronge la moitié de nos dollars imposés. L’industrie lourde est maintenant presque entièrement remplacée par des compétiteurs outre-mer. Pour la première fois dans l’histoire, nous faisons face à une balance commerciale internationale déficitaire. Des étrangers possèdent maintenant 75 % du quartier centre de Los Angeles et des autres régions métropolitaines. Plus de la moitié de la nation est officiellement en récession. Voici les résultats scolaires obtenus par le système de la Réserve fédérale après 80 années de soit disant stabilisation de notre économie. La Fed n’a pas atteint ses objectifs. Pourquoi ? Parce qu’à mon avis, ces derniers n’ont jamais été ses buts réels !
Quels sont les véritables objectifs de la Fed ? Quels buts réels un cartel quelconque peut-il viser ? Tous deux cherchent à accroître les marges bénéficiaires des membres et à stabiliser leur situation sur le marché. En gardant cela à l’esprit, une image différente s’offre maintenant à nos yeux. Ils remportent un grand succès. Les banquiers de l’île Jekyll voulaient atteindre trois objectifs :
1. Mettre un terme à l’éparpillement de leur pouvoir pour le concentrer à New York. Ils auraient plutôt dû faire exactement le contraire. Ils craignaient que des banques dynamiques apparaissent brusquement à travers tout le pays. Ils désiraient éliminer la concurrence que représentaient les nouvelles banques en imposant des conditions auxquelles les grandes banques pouvaient répondre mais non les petites ;
2. Renverser la tendance de ce qu’ils appelaient la formation du capital privé. Ils ne voulaient pas que les individus dépensent leur propre argent. Ils désiraient que tout le monde aille à la banque pour se procurer de l’argent. En début de siècle, la formation de capital privé tendait à s’établir et plus particulièrement en affaire. Les entreprises investissaient certains de leurs profits dans un fonds. Ce capital prenait de la valeur, puis les dirigeants de ces entreprises utilisaient leur propre argent pour construire des usines, organiser la recherche et le développement ou pour faire quoique ce soit d’autre. Les banques n’appréciaient pas cette tendance. Elles voulaient inciter les entreprises à recommencer à emprunter leur argent. Elles savaient que la seule façon d’y arriver consistait à baisser les taux d’intérêt. Contrairement à aujourd’hui, il n’existait aucun mécanisme pour augmenter ou réduire les taux d’intérêt… parce qu’à cette époque, l’argent était avalisé par l’or et l’argent. On ne peut contrôler ce type d’argent. C’est une question d’offre et de demande. Personne, individu ou politicien, ne peut le faire. Seuls des millions de citoyens en interaction libre peuvent le contrôler. Ils savaient que la seule façon dont ils disposaient pour ramener les gens dans les banques consistait à réduire artificiellement le taux d’intérêt normal. Ils affirmèrent que la nation requérait une devise flexible…pour répondre aux demandes de l’industrie. Que cela signifie-t-il ? De l’argent créé à partir de rien. Si vous arrivez à créer cela, vous n’aurez pas à percevoir beaucoup d’intérêts pour faire des profits. Une devise souple leur permettra de réduire les taux d’intérêt sous le niveau normal, de réaliser des profits en quantité importante et d’inciter les hommes d’affaires à revenir aux banques. Le deuxième objectif consistait donc à établir une devise souple.
3. Transférer les pertes inévitables des banques aux contribuables au nom de la protection des gens. Ceux-ci sont les véritables objectifs de la Réserve fédérale.
Émettons maintenant un autre bulletin scolaire pour savoir à quel point elle les a atteints.
1. Ont-ils réussi à garder le contrôle en ce qui a trait aux grandes banques new-yorkaises ? Oui ! Pendant que nous disposons des grandes banques dans l’ouest et le sud des États-Unis, les incomparables méga banques de New York se développent dans toutes les grandes villes du monde. Les grandes banques poursuivent leur domination. Il y a quelques années, William Grider écrivit un ouvrage très important : Les secrets du temple, publié par Simon et Shuster (une maison d’édition notoire aux États-Unis). On décrivit le contenu de ce livre comme une attaque incisive envers le système de la Réserve fédérale. Deux points ressortaient de cet ouvrage. Grider y racontait une excellente histoire qui ne camouflait aucun détail. Il prouva tout à fait que la Réserve fédérale avait toujours agit contre l’intérêt public et qu’elle avait été conçue ainsi dès le tout début. Quelles étaient alors ses solutions ? Abolir la Fed? Non. Rien d’extrême à ce point. Pensait-il à une réforme ? Non plus. Il y proposait plutôt de se détendre et d’apprendre chemin faisant parce que tout était si compliqué, mais à la fois sous contrôle. Dans le fond, nous n’avions besoin que d’hommes plus intelligents, c’est-à-dire d’une opposition contrôlée. Selon lui, cela ne faisait aucune différence d’être explicite dans notre histoire. Cela ne changerait rien de condamner. Ne pas disposer d’une solution réaliste revenait à ne pas détenir de solution du tout.
Il ne s’agit pas d’un problème entre républicains et démocrates. Même si les républicains ont promu la cause de la Fed à un degré supérieur, les membres du parti démocrate ont eux aussi mis la main à la pâte. On parle alors d’opposition contrôlée. La Réserve fédérale obtient donc un « A » pour avoir conservé le contrôle à New York.
2. A-t-elle réussi à renverser la tendance à former du capital privé ? Oui ! La réduction des taux d’intérêt durant certaines périodes allécha les individus et les entreprises à un point tel qu’il eût été fou de ne pas en tirer profit. Pourquoi économiser votre argent ? C’est stupide ! Alors, ces derniers se ruèrent dans les banques et empruntèrent considérablement. Puis, l’économie vacilla. Par conséquent, ils ne purent rembourser leurs dettes et durent déclarer faillite. Présentement, plusieurs entreprises et individus parviennent tout juste à payer l’intérêt sur leur dette. Plus incroyablement encore, de nombreuses entreprises remboursent maintenant plus d’intérêt aux banques qu’elles ne payent de dividendes à leurs actionnaires. Pensez-y. Les banques, qui ont fabriqué l’argent à partir de rien, gagnent plus d’argent que ceux qui travaillent pour le gagner, l’économiser, le risquer et l’investir dans le but d’acheter ces entreprises. Une fois encore, la Réserve fédérale obtient un « A » grâce à sa devise souple. Elle est parvenue à renverser la tendance de la capitalisation privée.
3. Transférer les pertes inévitables des banques aux contribuables au nom de la protection des gens. Ce petit jeu s’appelle : mettre en liberté provisoire sous caution. Lorsqu’une grande banque se retrouve dans le pétrin à cause d’une entreprise majeure ou parce qu’un pays du tiers monde n’arrive plus à payer sa dette, elle se tourne vers le Congrès et lui demande de mettre cette entreprise ou ce pays en liberté provisoire sous caution. Autrement, cela porterait atteinte aux gens de l’Amérique. Si l’on accepte la disparition de cette vénérable entreprise, il faudra penser à tous les gens qui perdront leur emploi et qui se retrouveront sur l’aide sociale. Si le pays ne peut payer, le gouvernement des États-Unis devrait le faire à sa place parce qu’autrement, la banque de New York devra considérer son remboursement comme perdu, faire faillite techniquement et fermer ses portes. Pensez à ces milliers de personnes qui ont placé leur argent dans cette banque et qui risquent d’en ressentir les effets. Qui sait, peut-être que cette banque entraînera toutes les autres dans son sillon en un effet de dominos. Une dépression ou une récession pourrait faire souffrir les gens. Le Congrès vote alors des fonds pour garantir les emprunts ou fait les paiements entièrement. Ce principe ne s’applique qu’aux grandes banques. Des entreprises majeures telles la Penn Central Railroad and Lockheed Corporation en 1970, la Commonwealth Bank of Detroit en 1972, la ville de New York en 1975, la Chrysler Corporation 1978, la First Pennsylvania Bank en 1980, la Continental Illinois, la plus importante banque à ce jour, en 1982 et de nombreux pays, qui n’arrivaient pas à effectuer les paiements auparavant, les font maintenant grâce à l’argent prêté par le Fonds monétaire international et la World Bank. Ces derniers ont obtenu cet argent de la Réserve fédérale qui l’a, elle, obtenu de vous et moi à travers le mécanisme de Mandragore.
Comme dernier sujet de ce chapitre, nous aborderons le thème de l’usure. Qu’est-ce que l’usure ? Un intérêt de taux excessif. Autrefois (au temps biblique), on définissait usure en tant qu’intérêt sur un prêt. Aujourd’hui, cela signifie intérêt excessif sur un prêt. Thomas Edison disait que les gens qui ne contribuaient rien à un projet, en récoltaient plus d’argent que ceux qui y investissaient tout le travail et les matériaux. Je me suis imaginé que sur le prix d’une maison de 100 000 $, 30 000 $ serviraient à payer les frais de l’architecte, le terrain, les permis, etc. Le reste de l’argent, soit 70 000 $, permettrait de payer les matériaux de construction et les travailleurs. J’ai supposé que l’acheteur irait à la banque pour déposer 20 % du montant total et faire un emprunt sur 30 ans à un taux d’intérêt de 10 %. En calculant tout cela, vous arriverez à la même conclusion que moi : l’acheteur payera plus de 172 741 $ en intérêt à la banque, comparativement aux 70 000 $ versés aux travailleurs. En d’autres termes, la banque gagnera 2,5 fois plus que les autres. Cet argent fut créé à partir de rien. Charger 172 741 $ d’intérêt sur rien est excessif. Il est temps de donner une nouvelle définition au mot usure : tout intérêt chargé sur tout prêt d’argent créé à partir de rien. Cet exemple de maison de 100 000 $ ne représente qu’un infime petit grain de sable dans le désert du Sahara. Vous devez multiplier ce procédé par toutes les maisons, tous les hôtels et les gratte-ciel, toutes les avions à réaction, les automobiles, les usines, tous les entrepôts et sur toutes les fermes et leurs équipements de l’Amérique pour obtenir le montant que récolte les banques. On parle ici d’une rivière de richesses non gagnées et flottant continuellement à l’intérieur du cartel bancaire qui est tellement éparpillé qu’il nous est impossible à imaginer. La somme totale dépasse tout entendement. Cet argent devrait revenir à ceux qui travaillent pour le produire et non à ceux qui ont monté un extraordinaire racket ! Où va cet argent ?
Lorsque l’on possède tout l’argent nécessaire pour s’offrir tous les petits plaisirs de la vie, que reste-t-il à acquérir ? Le pouvoir ! Les membres du cartel bancaire utilisent cette rivière de richesses pour se procurer le pouvoir à nos dépens. Ils achètent le monde avec ces argents. Ils contrôlent les sociétés et les institutions qui offrent leurs directions et leurs orientations à des gens qui dépendent, vivent et agissent en fonction de ces dernières. Sur le plan technique et en termes sociologiques, on les appelle des centres de pouvoirs. Ils achètent l’influence et le contrôle de leurs dirigeants. Ce qui signifie qu’ils achètent des politiciens, des partis politiques, des réseaux de télévision, des réseaux câblés, des journaux, des magazines, des agences de publicité, des agences de presse, des studios cinématographiques, des universités, des syndicats de travailleurs, des organismes religieux, des associations commerciales, des institutions à but non lucratif, des sociétés multinationales, des mouvements de scoutisme pour garçons et filles, et ainsi de suite. N’importe quel groupe qui exerce une influence constitue une cible parfaite pour accroître ce contrôle. Et plus précisément ceux qui s’opposent à eux. Ce phénomène existe dans la plupart des pays industrialisés. Il est absolu dans plusieurs pays en voie de développement. Ils ont acheté ces pays.
Ne vous est-il jamais arrivé de vous questionner ce qui se passe dans les bureaux de la World Bank et des Fonds monétaires internationaux ? Vous constaterez que le Congrès autorise de temps en temps un autre prêt ou un don de 100 milliards de dollars à un petit pays. Il affirme qu’il agit ainsi pour accroître le niveau de vie de ce dernier. Pouvez-vous le croire ? Si vous observez toutes les nations qui, au cours des dernières décennies, ont reçu de l’aide, pouvez-vous en trouver une seule dont le niveau de vie de ses citoyens a augmenté. Dans la plupart des cas, c’est tout le contraire. La raison est simple. L’argent ne servait pas à cela. On ne remet pas l’argent aux gens ni aux entreprises. On le donne plutôt aux politiciens et aux gouvernements pour consolider leurs mécanismes de contrôle des gens. Ils n’ont rien à faire du bien-être de leurs gens. Leur propre confort prime. L’idéologie ne veut rien dire pour eux. Le socialisme, le capitalisme, le communisme, le fascisme, n’ont aucune signification. Tout ce qu’ils désirent c’est l’argent. Il est choquant de constater qu’en Amérique du Nord nous devons traiter avec les 2e et 3e générations de familles sur l’aide sociale. En plus, le système actuel a créé parmi les gouvernements du tiers monde, une deuxième et troisième génération d’assistés sociaux. Ils sont dépendants. Ils ne sauraient que faire sans cet argent. Ils sont maintenant en place dans l’ordre mondial.
Ce transfert de richesses au tiers monde, qui provient de l’Amérique, n’augmente non seulement pas leur niveau de vie, mais contribue également à diminuer le nôtre. Cela fait partie de la stratégie. Une nation vigoureuse n’est pas sujette à rendre sa souveraineté, mais une faible nation l’est. Si on peut faire fléchir l’Amérique, elle acceptera sûrement les mesures totalitaires des Nations Unies pour garder la paix ou les secours d’un système monétaire international. Le jeu ne s’appelle pas la richesse, mais le pouvoir.
Qu’allons-nous faire de cette créature ? Qu’allons-nous faire du Congrès ? Ils ont créé un monstre et peuvent l’abattre. Nous devons toutefois mettre le feu sous les sièges qu’occupent les membres du Congrès. Nous devons élire de nouveaux visages au Congrès. Par contre, les électeurs doivent être informés. Nous avons besoin d’une armée éducative sur place. La mauvaise nouvelle c’est que nous manquons de temps. Le nouvel ordre mondial se concrétise autour de nous. Une cour de justice mondiale, une autorité d’imposition mondiale, un système monétaire mondial, une armée mondiale. En ce moment, environ la moitié de l’armée des États-Unis fonctionne sous le commandement de dirigeants étrangers.
Il y a également une bonne nouvelle : nous pouvons encore y arriver. Il nous reste du temps. Nous sommes encore libres. Nous pouvons encore parler librement. Nous pouvons encore élire les représentants de notre choix. Rappelez-vous : notre liberté en dépend. Merci !
Vous venez de lire l’adaptation en français d’une présentation que donnait M. Edward Griffin, l’auteur de « The creature from Jekyll Island ».Witten in 1802 ! « Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession, d'abord par l'inflation, ensuite par la récession, jusqu'au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre que leurs parents ont conquis.»Commentaire JMC : Il faut ne jamais privatiser la culture, l’éducation, la santé et les routes afin que l’économie tourne à son avantage.
Un autre déséquilibre fiscal, selon Lauzon
Plus d'info
Léo-Paul Lauzon
Une étude de Léo-Paul Lauzon révèle que l'apport des entreprises aux revenus de l'État a diminué de façon radicale depuis quelques décennies, au détriment des particuliers qui en fournissent maintenant la majeure partie.
Selon le professeur du Département des sciences comptables de l'UQAM, il y a 40 ans, les sociétés engrangeaient 37,6 milliards de dollars de profits et payaient 17,5 milliards d'impôt à Ottawa, soit environ 55 % des recettes fédérales. Les particuliers fournissaient les 45 % restant, soit 14,2 milliards dollars.
Or, selon les données de 2004, les entreprises, avec des profits de 175,1 milliards, ont versé 29,4 milliards au gouvernement fédéral. Pour leur part, les particuliers envoyaient à Ottawa 117,2 milliards, dont 88,9 milliards en impôt sur le revenu, fournissant ainsi à l'État 80 % de ses recettes.
Il observe le même phénomène à l'œuvre au Québec, où la part des recettes fiscales assurée par les particuliers est passée de 62 % en 1964 à 88 % en 2004.
Le titulaire de la Chaire d'études socio-économiques de l'UQAM y voit une forme indéniable de déséquilibre fiscal et presse Québec et Ottawa de cesser d'octroyer aux compagnies des avantages fiscaux indus.
Il rappelle qu'au Québec, 52 % des entreprises n'ont pas payé d'impôt en 2004. Il souligne en outre que les entreprises québécoises reçoivent 1,39 $ en aide gouvernementale pour chaque dollar versé à l'impôt, soit une perte de 5,7 milliards par an pour Québec.
La recherche, effectuée par le professeur Lauzon et son équipe, s'appuie sur des données compilées par Statistique Canada et par les agences du revenu du Québec et du Canada
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1) Pour votre crédibilité : Faites vous un CV récent avec un certificat de bonne conduite que vous pouvez obtenir au poste de police le plus prés de chez-vous.
2) Rencontrez des organismes que vous voulez aider et leur demander une lettre d’autorisation afin d’amasser des fonds pour eux.
3) Préparer-vous un prospectus en incluant les noms des organismes pour lequel vous sollicitez des dons en expliquant la façon que vous distribuer vos fonds, c’est tout, facile tout peut se faire de chez-vous.
Les avantages de votre organisme d’aide :
1) Indiquer que votre organisme est autonome et que vous ne chargez pas de frais d’administration et que vos dons reçus sont toujours distribués à 100%.
2) Indiquer aussi que tous vos dons reçus sont divisés par 10$ et que le logo de vos donateurs est Incéré sur chacun de ces bons et que ces bons ont une valeur nominale de 210$, c'est-à-dire que chaque bon est ajouté en croissance dans le programme www.j-m-c.ca jusqu'à leur qualification de 210$ et les personnes possédant ces bons pourront recevoir par la suite en argent dépensable chez les marchands participants pour chacun des bons reçus. Ils recevront des 15$, 30$, 60$, plus 2 nouveaux bons prépayés et continueront a recevoir des 15$, 30$, 60$ durant 30 ans à partir de chacun des bons reçus, une publicité pour vos donateurs qu’ils ne pourront refuser du au retour en visibilité pour leur commerce.
3) Tout l’argent reçu en don est remis à 100% en bons d’économies directement aux bénéficiaires et une partie à l’organisme que vous voulez aider, selon votre entente, Ex : Si vous avez 1000 bons à leur donner en don, vous pouvez leur dire d’enregistrer 100 bons au nom de leur organisme pour leur administration et les autres devront être remis directement a leurs bénéficiaires.
4) A tous les 21 bons achetés chez JMC votre organisme reçoit comme les marchands un bon au nom de votre organisme de cette façon, quand votre organisme aura 1000 bons de qualifiés votre organisme recevra comme les autres, des retours de 1000 fois 15$ 1000 fois 30$ et 1000 fois 60$ plus 2000 nouveaux bons inscrits au nom de votre organisme réalisant la croissance de tous,
Les avantages de vos donateurs : Notre organisme est autonome, travaille avec des bénévoles et ne prend jamais de frais de servisses pour s’administré. Vos dons vont à 80% directement aux bénéficières et 20% à l’organisme choisi.
1) Le logo de toutes vos entreprises est inscrit sur chacun des bons les publicisant sans frais. Ces bons sont distribués sans coût par les organismes qui reçoivent leurs dons.
2) Vous pouvez leur offrir une inscription publicitaire sans facturation au site www.j-m-c.ca qui leur donnera droit de recevoir des 15$, 30$, 60$ en retour économisé comme les clients qui accumulent des bons gratuitement en achetant chez les marchands participants. Mentionnez qu’avec ces retours en participants, ils pourront vous remettre par la suite une partie de ces retours économisés en dons réalisant une roue économique parfaite.

Avantage pour vous : Recevrez pour chacun des donateurs 50$ pour inscrire sans facturation le nom de leur commerce au site transactionnel www.j-m-c.ca et recevez aussi d’autres 50$ en royauté toutes les fois que ces compagnies recevront 30$ et 60$ à la condition que vous soyez le premier représentant à les avoir inscrits.

FOND ENFANT-AINÉE Feuillet

Feuillet-promotionnel : Fond Enfant-Ainée est un fond d’aide aux organismes

1. Tous nos bénévoles ont un certificat de bonne conduite que l’on peut obtenir au poste de police le plus prés de chez-vous.
2. Rencontrons des organismes que nous voulons aider et leur demandons une lettre d’autorisation afin d’amasser des fonds pour eux.
3. Innovations stratégique : Maximisons vos dons en distribuant vos dons directement aux bénéficières afin d’augmenter votre visibilité.

Les avantages de notre fond d’aide : Vos dons vous publicisent

Notre organisme est autonome et ne charge aucun frais d’administration, les dons reçus sont toujours distribués à 100%.
Tous les dons reçus sont divisés par 10$ et le logo de nos donateurs est Incéré sur chacun des bons. Ces bons étants divisés par 10$ ont une valeur nominale de 210$, c'est-à-dire que chaque bon est ajouté en croissance de 21 fois 10$ dans le programme www.j-m-c.ca jusqu'à leur valeur de qualification de 210$.
Les bénéficières possédant ces bons, recevront par la suite du nouvel argent dépensable seulement chez les marchands participants pour chacun des bons reçus.
Tous, recevrons ces retours économisés par tranches de 15$, 30$, 60$, plus 2 nouveaux bons prépayés afin d’accélérer la croissance des portefeuilles et continueront par la suite à recevoir des 15$, 30$, 60$ durant 30 ans à partir de chacun des bons reçus.
Une publicité continue pour les donateurs, une visibilité perpétuelle pour les commerces.
Vos dons sont répartis entre plusieurs organismes.
Vous pourrez choisir vos organismes préférés par préférence.

Voici quelques organismes que nous voulons représentés


FONDATIONS
» Fondation du Centre hospitalier de Val-d'Or, Rouyn-Noranda, Amos, etc.» Fondation Louis Gonzague Bolduc» Fondation Rousseau-Dargis de Malartic» La Fondation du Foyer de Val-d'Or Inc.» Etc.
» Etc.
» Etc.

Jumelage Marchand Client Ltée est un outil de développement! Industries, emploies, etc. La première priorité en économie est la valeur des portefeuilles de vos contribuables qui contribue à votre paye. Servez-vous du seul outil non comparable de développement local. Invitez vos marchands à se publiciser en économisant avec leurs clients, une publicité beaucoup moins dispendieuse et une fidélisation clientèle plus rentable. JMC est un regroupement coopératif collectif pour luter contre la récession. Vous pourrez profiter de rabais sur la nourriture, les vêtements, l’essence, etc. Ce mouvement coopératif regroupe plusieurs clients et plusieurs commerçants. Être participant JMC, c’est comme être membre d'une Coopérative qui à plusieurs succursales ! Entente pour une conférence sur demande.
N'est-il pas temps de s'unir pour s’en sortir ?Les économies s’accumulent à partir de la consommation chez les marchands participants d’une cenne à 10$ maximum que les marchands vous offre dépendant du montant de vos achats et ce maximum 10$ devient une nouvelle inscription introduite au programme et devenant en croissance à votre nom jusqu'à 210$. Ce qui permet de vous bâtir un bon portefeuille que vous soyez moins ou plus nantis. Voyez pourquoi le système monétaire saute toutes les 10, 15 ans.
Avantages d’économiser collectivement : Être Unis Aux Autres, jumelons nos économies ! Jamais, un marchand ne sera autant publicisé qu’avec JMC ? JMC crée du nouvel argent à partir d’économies au lieu de dettes ce qui est de beaucoup plus logique. Nos droits d’auteur est 480166
1. Annoncez vos spéciaux sur le site www.j-m-c.ca sans facturation. Habituez vos clients tranquillement en transformant une partie de vos escomptes en profits.
2. Suggestion, achetez 21 bons d’économies à la fois pour 210$ et recevez en un qui a une valeur nominale de 210$ votre coût reviendra a zéro. 10$ vous donne 1 ou 20 bons.
3. Vos coûts de publicité deviendront tellement minimes que nous pouvons affirmer que vous en recevrez plus en services de ce que vous payez.
4. Vos clients sont fidélisés avec des bons d’économies style les piastres Canadian Tire.
5. Vos clients enregistrent leurs bons au site JMC et voient votre nom des milliers de fois.
6. Comme Canadian Tire, votre nom et votre logo de marchand seront inscrits sur chacun des bons offerts, ce stratège fait que tous vos clients se promèneront avec votre logo, votre nom, votre adresse dans leurs poches.
7. Vos clients vous publicisent sans coût et voient encore votre nom inscrit à la suite du numéro de chacun des bons inscrits au site JMC. Vous, vous les procurez en vous inscrivant comme marchands ou comme les clients au site www.j-m-c.ca.
8. Vos chiffres d’affaire exploseront. Vos clients voudront toujours savoir combien de nouveaux bons à accumuler avant d’avoir un dépôt. Donc, vos clients visiteront le site JMC à tout moment et verrons encore votre nom, ils pourront savoir comme vous, exactement le moment ou vous recevrez un dépôt dans votre carte de crédit prépayé. Ça c’est de la publicité agrandie et continuelle pour le même prix, du jamais vu une visibilité progressive comme celle là et sans coût.
9. Vous n’aurez plus à vous servir de vos nouveaux profits pour vous publicisez.
10. Il faut réaliser un cercle parfait qui est nécessaire à la croissance des portefeuilles de tous les inscrits. Nous devons éliminer le binaire de notre logiciel de gestion. Pour ce faire, nous réinscrivons prépayés les retours de 30$ + réinscription et 60$ + réinscription, c’est à dire 2 fois afin d’éliminer le binaire. Il fallait y penser et ce stratège réalise la croissance des portefeuilles de tous automatiquement, à partir d’économies à la consommation.
Vous démarrer avec peu d’argent et cet argent vous revient en économie. Merci d’agir tout de suite, Inscrivez-vous au site JMC sans facturation. Un E-commerce est à votre service. Ouvrez-vous un compte PayPal et vous pourrez-y vendre vos produits ou seulement les annoncer.
Participez au programme et controns ensemble la pauvreté, JMC est programmé pour le réussir! Magasinez localement !!! Info : 1-888-414-6093, 819-764-0265.
Le but de ce programme est d’augmenter la masse monétaire des clients et des marchands.
Un ne va pas sans l’autre. 819-825-9401, Cell- 764-0265
Jumelage Marchand Client Ltée Programme d’économie collective JMC
Gilles Gagnon 184, 3e Ave, Val D’or, Ca, QC, J9P 1R5 Vendez vos produits gratuitement à notre site www.j-m-c.ca jumelage-marchand-client@tlb.sympatico.ca
Service aux marchands Clients
Un marchand peut vendre ses produits à notre site www.j-m-c.ca sans facturation et économiser avec ses clients. Nos représentants vous montreront comment ajouter et retirer vos produits vendus. Il est essentiel d’avoir un E-mail et de vous ouvrir un compte PayPal. Promotion d’ouverture: tout est sans facturation. L’inscription d’accès 67.73$, taxes incluses, est prise après gestion à même les retours économisés.
jumelage-marchand-client@tlb.sympatico.ca
No du bon : BON D’ÉCONOMIE JMC
‘’Inscérez votre logo et votre nom de marchand’’’’Jumelage Marchand Client Ltée’’
Adresse :
Téléphone : Courriel :
Ce bon à une valeur nominale client de $10.50
Ajoutez ce bon d’économie en croissance à votre portefeuille d’économie marchand au site www.j-m-c.ca
(Coût confidentiel Marchand 50c) Code bar
No du bon : BON D’ÉCONOMIE JMC
‘’ Inscérez votre logo et votre nom de marchand’’’’Jumelage Marchand Client Ltée’’
Adresse :
Téléphone : Courriel :
Ce bon à une valeur nominale de $210.00
Ajoutez ce bon d’économie en croissance à votre portefeuille d’économie marchand au site www.j-m-c.ca
(Coût confidentiel Marchand 10$) Code bar
Il y a 450 000 entreprises au Québec, 150 000 sont propriétés ou dirigées par des femmes. De plus, 200 000 femmes sont travailleurs autonomes, phénomène en croissance rapide d'ailleurs. Bref, les Québécoises deviennent de plus en plus entrepreneures. Il y a 25 ans, elles représentaient 10 % de la communauté d'affaires. Elles représentent maintenant environ 35 %, soit un tiers, ce qui est une belle réussite en soi. Nous visons à court thermes 10% de ces commerces, qui pourrait offrir un bon par jour ce qui nous donnerait 45,000.00$ par jour en économies collective à répartir entre les clients des marchands et eux.

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